Le rapport de l’ANSES (Agence Nationale de Sécurité Sanitaire et Alimentaire Nationale) est clair concernant les dangers de l’utilisation des fréquences de la 5G. « Sur la base des données scientifiques disponibles à ce jour, l’Anses estime peu probable que le déploiement de la 5G dans la bande de fréquences 3,5 GHz présente de nouveaux risques pour la santé » nous dit l’agence sanitaire.
Des études qui donnent confiance
L’ANSES avait déjà effectué des recherches sur les fréquences liées à la 2G, 3G, et 4G et avait déduit que les fréquences ausi partagées par la 5G, dites basses et moyennes et corresspondant aux 700 Mhz, 1,8Ghz et 2,1 Ghz ne présentaient « pas de preuve d’effet sanitaire lié à des expositions à des sources de champs électromagnétiques correspondant aux usages numériques courant ».
Les données sur la fréquence des 26 Ghz quant à elles ne sont pas suffisantes pour conclure à l’existence d’un impact sanitaires.
L’Agence à effectué des mesures sur une bande élargie (18 à 100 Ghz) qui partage ses caractéritiques avec la bande des 26 Ghz. Les simulations obtenues « laissent présager des niveaux d’exposition faibles ». L’Autorité préconnise toutefois de poursuivre les recherches sur ce sujet.
Des études très attendues
Les opérateurs peuvent souffler. La Fédération Française des Télécoms (FFT) se réjouit du résultat de cette étude. Bien que l’ANSES invite à la prudence, c’est un pas en avant qui est fait pour les opérateurs télécoms. Selon eux, cette étude ne fait que confirmer la conclusion d’une vingtaine d’autres agences similaires.
Nicolas Guérin, président de la FFT et secrétaire général d’Orange nous dit alors :
« Les conclusions de l’Anses sont nécessaires et rassurantes, elles doivent désormais être largement et rapidement relayées auprès des élus et citoyens pour un déploiement, dans un climat apaisé, de cette technologie au service du développement de notre pays. La 5G n’est pas un danger ! Ce n’est pas moi qui le dis mais l’Agence nationale de sécurité sanitaire ».
Le déploiement de la 5G avait fait débat mais l’ANSES à tranché et nous pourrons donc tous profiter des bénéfices de cette technologies très rapidement.